La Playlist 2020 by Jah (Mixtape)
Alors que tout le monde n’attendait qu’une chose, que cette année de merde se termine, chez Alternative Lads, on a pas encore fini de vous dévoiler nos tops 2020.
Alors que tout le monde n’attendait qu’une chose, que cette année de merde se termine, chez Alternative Lads, on a pas encore fini de vous dévoiler nos tops 2020.
Après une première pige sur la scène brésilienne des années 70s, Les Fonds de Tiroir font leur retour sur Alternative Lads. Cette fois avec une playlist consacrée à la Sovietwave, une version post-sovietique de la synth-pop dont André nous parle ici avec la même passion que sur les ondes de Radio Campus Paris :
On s’intéresse cette semaine à l’actualité de la musique afro-club.
Après les focus sur les labels Dais Records et Captured Tracks, on s’intéresse aujourd’hui à une autre maison de disque indépendante : Music From Memory. Fondé à Amsterdam en 2013, le label se concentre notamment sur la réédition de disques rares et oubliés, avec un fort penchant pour les sonorités électroniques.
Ca y est, nous revoilà confinés ! Plutôt que de céder à la déprime ambiante, voyons comment mettre à profit le temps qui s’offre à nous. En découvertes musicales bien sûr mais pourquoi-pas aussi en trouvailles cinématographiques ?
Qui n’a jamais entendu parler de Brian Eno ? Musicien et producteur visionnaire, Eno n’est ni plus ni moins que le père de la musique ambient et l’un des artistes les plus influents de la scène pop et rock britannique.
Alors que la 2ème vague menace plus que jamais de renvoyer tout le monde chez soi, Pedro nous livre un mix coloré et sincère pour réchauffer un peu l’atmosphère.
Bienvenue à Atlanta, berceau de la trap music. Cette branche du hip-hop apparue au creux des années 2000 dans la capitale de la Géorgie (USA) est aujourd’hui le style le plus populaire du rap-game américain et mondial.
Petit clin d’œil lubrique, la playlist 69 s’intéresse aux musiques des films porno-érotiques des 1970s, lorsque ceux-là faisaient encore état d’un scénario travaillé et s’accompagnaient d’une bande son bien léchée.
Le confinement n’arrête pas la musique, et surtout pas la scène électronique qui s’avère particulièrement prolifique ces derniers mois.